Mettons ensemble un terme à la cruelle
euthanasie des chats errants

En finançant leur stérilisation et leur identification, nous limitons leur prolifération. Ainsi, les chats errants deviennent des chats libres, et peuvent vivre paisiblement à nos côtés en remplissant leur rôle dans leur biotope.

La Fondation 30 Millions d’Amis prend en charge les frais de stérilisation et de tatouage des chats errants à hauteur de 100 euros pour une femelle et 80 euros pour un mâle.

La stérilisation est reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) : elle stabilise la population féline en lui laissant la possibilité de continuer à jouer son rôle de filtre contre les rats et les souris. Car non, le déplacement des colonies de chats n’est pas une solution : la pullulation continue simplement ailleurs !

A savoir : un couple de chats non-stérilisés peut engendrer jusqu’à 20 000 descendants en 4 ans !

Défendons les droits des animaux
sur tous les fronts

La maltraitance animale ne cesse de progresser. Entre 2016 et 2021, 30 % de cas supplémentaires* ont été constatés. Malgré des avancées législatives, trop peu de tortionnaires d’animaux sont condamnés car les plaintes sont classées sans suite. Certaines peines encourues pour des actes de maltraitance n’ont même jamais été appliquées. Les droits des animaux sont bafoués et restent insuffisants au vu des actes de cruauté qu’ils subissent.

*Ministère de l’Intérieur, 2023

Le Code pénal prévoit qu’une personne qui exerce des sévices graves ou qui commet un acte de cruauté envers un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité est punie de 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende. Cette sanction n’est malheureusement pas toujours appliquée… Pourtant, depuis la modification du Code civil en 2015 reconnaissant l’animal comme un « être vivant doué de sensibilité » grâce à la Fondation 30 Millions d’Amis et la publication du 1er Code de l’Animal en 2018, « on observe une particulière sensibilisation des tribunaux à la cause animale », confirment Maîtres Xavier Bacquet et Maryse Bierna. « Les personnes qui se livrent à des sévices graves, des actes de cruauté ou à des mauvais traitements ou à un abandon, doivent prendre conscience qu’il y aura une sanction. Il n’y a pas d’impunité ! ».